- Depuis quelques dizaines d’années, Ayato a développé une certaine attirance pour la chair. Rien de sexuel là dedans, il y a pris goût. Au sens propre. A cause de ses activités cachées, le vampire devait trouver un moyen d’effacer les preuves de ses atrocités. Et quoi de mieux que de les manger~ Ainsi il peut continuer d’accomplir sa mission et assouvir sa soif de sang. D’une pierre d’un coup~
- Pour étouffer tout soupçons, Ayato change de temps à autre de ville ou village. Évitant ainsi que trop de disparitions se déclarent dans un même endroit. De plus, il lui arrive aussi de convertir deux ou trois crédules à sa cause. Des personnes faibles d’esprit mais aux capacités et à l’utilité non négligeable. Elles continuent donc de purger dans les villes où il est passé en leur donnant ses ordres, sous un langage codé qu’il a mis au point. Ce sont ces diacres.
- Malgré son statut de prêtre, Ayato est capable de se défendre. Il s’entraîne dans sa chambre noire, à l’abri des regards. Il se doit d’être en forme pour accomplir sa mission divine.
- Il n’as pas vraiment d’arme de prédilection, mais un ou deux poignards dans les pans de ses vêtements sont si facilement invisibles~
Oh et finalement, il est plutôt avec un fouet~
- Il fait partie d’une grande famille de vampire dont tous les noms se finissent par “bami”. C’est comme ça qu’ils arrivent à se reconnaître sans pour autant se connaître.
- Ayato aime les jeux d'argents. Parier et risquer de perdre beaucoup lui procure un certain plaisir. Mais il ne pariera jamais sa vie~
| Age: 138 ans | Race: Vampire | Orientation: Bisexuel |
| Métier: Prêtre | Groupe: Noblesse | Source: Ayato Kirishima de Tokyo Ghoul |
On peut le dire: Ayato fait honneur à sa race. Mesurant 1m86 et gardant l’apparence d’un jeune homme se situant entre 20 et 30 ans, ce grand jeune homme à tout pour plaire. Mais ça ne l’intéresse aucunement. Sauf si c’est pour assouvir quelques besoins primaires.
Ses cheveux bleu nuit lui tombent presque sur les épaules. Une mèche principale lui retombe entre les yeux et deux autres entourent soigneusement son visage. Ils sont lisses et soyeux. Il en prend soin. Son regard bordeaux semble vous sonder, jusqu’au plus profond de votre âme. Vous savez qu’il lit en vous comme dans un livre ouvert. Alors, inutile de lui cacher des choses. Il sait tout. Rien qu’en vous regardant. Vous êtes comme pétrifié. C’est son léger sourire qui vous libère. Un petit sourire sans prétention. Amical. Presque inquiet. Vous pouvez lui faire confiance. Ses canines sont aussi constamment rétractées. Vous verrez qu’elles sont un peu longues que selon certaines races. Il les garde ainsi pour montrer sa bonne foi envers sa religion. N’est-il pas le parfait prêtre ?
Sous un habit officiel, une robe ou que sais-je, ses bras et ses jambes musclés et entretenus se cachent dans les tissus amples. En dessous, il porte un haut noir moulant et sans manche. Il lui suffit de faire glisser le haut de sa soutane comme d’un kimono, retenu d’une ceinture à fausses dorures, descendant en un bout de tissu central orné d’une croix blanche. Et le voilà libre de ses mouvements. Il ne le montre pas mais ses vêtements sont une gêne pour lui. Il les garde par obligation, mais les enlèvent dès qu’il le peut.
En dehors de ses activités, il porte qu’un haut moulant sans manches sombre, avec un pantalon assez large et des bottes en cuir lui remontant presque aux genoux. Ainsi qu’un manteau sombre à capuche et fourrure quand il doit sortir officieusement. On peut le voir aussi avec un châle blanc ou encore violet.
De plus, il porte toujours à son bras droit un bracelet à grosses perles noir, ayant pour pendentif une petite croix en argent. Ainsi qu’un second bracelet plus petit à perles blanches entouré de ruban rouge qu’il a arrangé. Il ne s’en sépare jamais de ce dernier.
Comment comprendre le fonctionnement de la personnalité d’Ayato…? C’est très simple.
Ayato n’est pas une bonne personne. Il joue un rôle. Depuis toujours.
D’apparence et durant ses activités à l’église, on peut voir en lui un prêtre très sérieux, presque amical et réconfortant quand il le faut. Il porte la parole de Shun du mieux qu’il peut et au plus grand nombre. Pour paraître plus crédible encore, il jure de refouler sa soif de sang pour montrer sa dévotion envers Shun et envers l’Eglise. De nombreux pratiquants (et pratiquantes) n’hésitent pas à se confier à lui tous les jours, de choses plus ou moins grave. De péchés de plus ou moins inexcusable… Il en prends note, inscrivant tout témoignage dans un de ses nombreux “Carnet du Pardon”. Gardant en tête, selon lui, les plus atroces d’entre eux. Mais aussi les plus minimes. S’en nourrissant pour se convaincre qu’il doit accomplir son devoir. Il rassure les gens, leurs fait miroiter que Shun saura pardonner leurs fautes en temps et en heure. Quand leur dernière heure sera arrivée.
Il incarne si bien ce personnage.
Il ne faisait pas ça par plaisir. Du moins, au début. Il y a simplement des choses qu’il se devait d’accomplir. D’ailleurs, il n’aimait pas vraiment ça, se salir ainsi les mains. Les années passèrent mais ces “occupations” restèrent malgré tout. Puis, à force de pratiquer, il devenait… plus imaginatif… Et commençait peu à peu à ressentir un certain… sentiment de supériorité. Ses victimes, absolument toutes sous son contrôle. Il en avait une totale emprise. Il pouvait décider de leur infliger n’importe quoi, décider comment devait se passer leurs derniers instants ainsi que de la façon dont ses pêcheurs devaient mourir ! Il y a pris goût ! Et maintenant, c’en est devenu indispensable pour lui !
Il est convaincu que ce qu’il fait est juste ! Il s’est lui même convaincu être la parole suprême de Shun. Que c’est elle en personne qui lui as donné cette mission. Inutile donc de vous préciser qu’il est très croyant. Envers Shun. Ou bien Yue…? Les deux se confondent tout au fond de lui. Mais Shun en est toujours vainqueur. Par sécurité ou réelle adoration ? Qui sait. D’ailleurs, si vous osez lui faire la remarque qu’il peut potentiellement être sous l’influence de Yue, il vous regardera longuement sans rien dire, avant de vous mettre en garde quand vous irez vous coucher la nuit suivante, avec un léger sourire~
Sait-on jamais… Les ombres de la nuit peuvent être si terrifiantes et sources de danger…~
Ayato a aussi une facette plus douce, même amoureuse de sa personnalité. Qui était destinée à une seule personne. Son amour passé. Celle qu’il a jamais aimé. Celle qui le comprenait. Celle qui avait les même idéaux que lui. Celle qu’il pensait être sa moitié. Celle qu’il était persuadé qu’elle était sa moitié. Celle qui as découvert le pot aux roses et s’est révélée ne pas avoir la même vision que lui sur les idéaux communs. Celle qui as tenté de le tuer, sans y parvenir. Celle qui s’est enfuie, en le laissant seul. Celle qui as disparu depuis des années…
Ce Ayato est mort. Il l’as tué. Depuis qu’elle est partie.
A moins que Shun ne lui fasse une grâce. Un cadeau pour le récompenser de tous ses efforts...
Ayato naquis en 4698. Il est issue d’une branche mineure d’une grande famille de vampire. Il a vécu ses premières années a Yamiku. Vivant avec son père et sa mère, il eut une vie tranquille et calme. Il n’as jamais manqué de rien. De l’attention et de l’amour, il en a eu. Tout aller bien dans leur grande demeure. Elle n’était pas aussi gigantesque que celle de la plupart des nobles. Mais c’était tout de même une jolie résidence au style japonais à en faire envier plus d’un.
Il n’as pas non plus suivi d’éducation particulière. Étant une sous branche peu connue d’une famille importante, la vie était moins stricte et plus légère. Pas vraiment de réputation à tenir donc. Et Ayato avait aimé vivre de cette manière. Il avait eu l’occasion d'assister à une ou deux grandes réunions de familles pour le mariage de la fille de la branche principale par exemple. Et il voyait bien toute l’organisation et toute la pression qu’elle devait subir. Il n’aurait jamais supporté tout cela.
Il vécut donc sa petite vie de privilégié tranquillement, loin de la misère du monde. C’est durant son adolescence, il y a une centaines d’années, qu’ Ayato commença à s’éveiller à la religion. Il s’y intéressa de plus en plus au fur et à mesure de ses rares leçons obligatoires. Son professeur, un ange engagé par sa famille, était très avenant avec lui. Ne se limitant pas à leur différence de race. Il enseigna à Ayato tout ce qui était possible de savoir et comprendre. Pour son plus grand plaisir.
Puis un jour, son professeur, qui était évêque de Yamiku, l’emmena dans son église pour un séjour formateur. Ayato, tout content avait demandé cette faveur à ses parents, qu’ils avaient tout de suite acceptés. Le jeune vampire a donc vécu pendant 1 an dans l'Église de Yamiku. Cela lui a été plus instructif que tous les cours à domicile qu’il aurait pu imaginer.
En effet, Ayato en a certes appris plus de la vie d’un prêtre, rang le plus haut qu’on pouvait lui promettre, mais surtout, il a subi d'intenses séances de bonne conduite, de règles à respecter, de bourrage de crâne, de maudissement de sa race de vampire. Et ceux durant une bonne dizaine d’heures par jour et chaque jour. Cela pouvait aussi aller pas de séances de torture quand ses pensées firent trop gavées pour continuer. C’est là qu’on découvrit pour la première fois sa mutation génétique, dû à une lointaine union hybride entre un vampire de sa famille et un pur. Il en avait aucune connaissance et ne le saura sans doute jamais non plus.
En plus de faire virer ses yeux bordeaux au rouge vif, le blanc de ses globes oculaires viraient vers le noir profond. Mais cela n’avait pas qu’un effet d’apparence. Ayato ressentait de grosses douleurs a chaque fois que cela lui arrivait, allant jusqu’à le faire pleurer. C’était assez handicapant car il ne pouvait les garder très longtemps ouvert dans cet état. Cela lui donnait donc un air de bête maléfique à l’agoni: ses yeux décrit comme ceux de Yue, son visage tiré par la douleur, clignant sans cesse des yeux et pleurant en même temps. Comme si sa part vampirique voulait se manifester et se rebeller. Cela lui arrivait quand il subissait un quelconque choc ou bien sous l’effet d’une excitation meurtrière, mais ça il le découvrira plus tard. De part cette découverte, le petit comité ayant été témoin de cette manifestation n’as trouvé d’autres moyens que de continuer les séances de torture, sans que cela ne change grand chose. Ils abandonnèrent donc à la fin de cette année éprouvante.
Mais tout cela, Ayato avait appris à l’accepter. Par contrainte mais il l'accepta quand même. On lui disait sans arrêt qu’il avait une chance inestimable de pouvoir intégrer les rangs des représentants de Shun. Et a force de lui saturer son esprit de toutes ses soi-disantes opportunités, Ayato y a cru. Peut-être un peu trop cependant…
Il se sentait tellement impliqué dedans que cela venait jusqu’à envahir ses rêves. D’abord une nuit de temps en temps. Puis…. Elle venait le voir tous les soirs. Quasiment à chaque fois, Ayato avait l’honneur de voir Shun dans ses rêves, comme elle était décrite dans les livres. Cela l'affectait à tel point qu’il prit plusieurs de ses rêves comme des preuves que Shun l’avait choisi. Ce n’était qu’une évidence de plus lui affirmant qu’il était destiné à ça. C’est de là qu’est né son obsession mais aussi la mission qu’il pensait avoir reçu de sa divinité: celle de corriger et purifier les pêcheurs. En tant qu’impur, il avait ce pouvoir que les races “célestes” ne pourrait jamais acquérir. Ça, il l’avait compris tout seul.
Il continua ses études durant une dizaine d’années, une fois retourné chez lui, se sentant plus impliqué que jamais. Et c’est vers ses 25 ans qu’il décida de s’engager corps et âme dans l’église. Étant vampire et donc impure - comme on le lui avait rappelé si souvent, il dut vite se résoudre à atteindre un rang très élevé… Cela n’avait pas vraiment d’importance. Tant qu’il avait le contrôle totale sur une église, cela lui convenait.
Il exerça donc dans sa ville natale dans une église mineure. Se faisant le plus innocent possible, allant jusqu’à refouler sa race impure pour montrer pâte blanche, comme enseigné. De part sa part “impure”, rien ne lui été facile. On était plus sévère avec lui, lui rappelant de nouveau qu’il n’avait pas sa place au sein de la maison de Shun. On lui as même fait endurer une autre “formation”, moins longue mais aussi moins autoritaire que la première. Histoire de finir le travail et peaufiner les détails de son lavage de cerveau. Mais Ayato était déjà prêt.
Il finit par faire son premier meurtre, sa première purge comme il aime si bien les nommer, 3 ans après son intégration. Il entamait enfin la mission qu’il s’était donné.
C’est de nouveau quelques années après, vers ses 37 ans, que durant une balade officieuse et nocturne dans la forêt proche d’Alberich qu’il fit la rencontre de celle qui partagera une grande partie de sa vie.
Il l’avait vu, assise sur une souche d’arbre au coin d’un petit feu en train de manger à la belle étoile. Au début, il l'avait approché dans le simple but de voir en elle une potentielle… “heureuse privilégiée” pour ses purges. Il lui offrit donc l’hospitalité, histoire de paraître inoffensif et accueillant, prétextant qu’un lit et une oreille attentive était le meilleur des somnifères. Elle accepta sans qu’il ai besoin de trop la convaincre. C’était parfait. Il lui offrit donc à manger et un lit de fortune mais agréable malgré tout. Il profita de cette nuit pour tâter un peu le terrain, la connaître, lui demander ce qu’elle faisait, tout en lui permettant de rester aussi longtemps qu’elle le voulait.
La prochaine purge arrivait à grand pas mais plus il apprenait à la connaître, plus il oubliait ce pourquoi il l’avait abordé au départ. Il se rendit compte qu’elle avait les mêmes principes que lui. Que justice devait être faite ! Et que c’était leur devoir de la faire régner. Que malgré leurs différences, lui un vampire prêtre et elle un ange déchue, ils avaient la même vision des choses ! Bien sûr, il ne parla pas sa manière de procéder. C’était sa mission après tout. Divine et personnelle.
Ayato se confia donc en retour à Kyra, la seule pouvant le comprendre. Ils s’entendaient si bien. Même si de part sa profession de chevalière ils ne se voyaient pas tous les jours non plus, Ayato commençait à éprouver des nouveaux sentiments. De l’amitié, puis de l’affection, de la taquinerie et finalement de l’amour. A peine l’année suivante commençait qu’il lui avait déclaré ses sentiments à son égard. Et elle avait répondu oui en retour ! Kyra illuminait davantage la vie du vampire.
L’attente de revoir sa bien-aimée commença assez vite à peser sur le cœur d’Ayato. L’absence de Kyra était justifiée, en tant que chevalière, elle voyageait sans cesse d’un bout à l’autre de leur continent. Mais c’est à une énième visite tant attendue l’année suivante qu’il lui annonça qu’ils voyageraient ensemble.
Tout leur souriait. Mais les conflits entre les purs et les impurs prirent des ampleurs catastrophiques : la guerre éclata en 4810. Les temps étaient durs, pour tout le monde. Personne n’était épargné. Et Ayato, en tant que prêtre, fut rapidement envahie par les fidèles terrorisés. Par crainte d’être démasqué, il dût mettre les purges entre parenthèses. Ayato aussi avait peur de mourir. De plus, Kyra décida de mettre un peu distance entre elle et lui, de peur que les deux impurs ensemble ne soient pris pour cible. Ce que le vampire accepta et comprit immédiatement, malgré le déchirement que ça a été de voir sa bien aimée partir, et peut-être ne plus jamais la revoir. Mais il croyait en elle et pria tous les jours de la voir revenir saine et sauve.
5 ans. 5 longues années ont passées et la guerre fut enfin fini. Et Kyra refis surface dans la vie d’Ayato. Il n’as jamais été aussi heureux de toute sa vie. Soulagé d’un poids immense et de stress, c’est la première fois qu’il pleura de bonheur.
Mais ce bonheur fut de courte durée. Quelques temps après la guerre, Kyra découvrit le pot aux roses. Durant une nuit d’automne calme, elle s’était réveillée. Elle entendit des bruits sourds et étouffés, des rires et des cris, accompagnés de sanglots. Dans un élan chevaleresque, elle pista sans réfléchir ses voix comme venues des Enfers et ouvrit avec fracas la porte menant à la catacombe qui avait envahie la cave de l’Eglise.
Ce qu’elle vit, la stoppa nette. Le temps était comme suspendue. Pourtant elle entendit bien le rire macabre qui secoua les épaules de celui qu’elle croyait être son amant. Il se calma, ayant fini sa “purification” et en sentant un courant d’air portant l’odeur de Kyra qu’il comprit qu’on l’avait découvert. Qu’elle l’avait découvert. Il ne voulait pas se retourner. Tant qu’il ne la voyait pas, elle, alors ce n’était pas encore arrivé ! Il pria Shun de toute son âme. Mais cela ne servit à rien. Le mal était déjà fait. Il se retourna donc lentement vers elle, ses yeux noirs remplis de larmes, la bouche ensanglantée où on pouvait discerner ses crocs qui appuyaient sur sa lèvre inférieure. Il pleurait à cause de la douleur de sa “malédiction” certes, mais il pleurait aussi car son bonheur à deux venait de rendre son dernier souffle, tout comme le viel homme à qui il venait d’ôter la vie. Il se redressa néanmoins vivement, et alors qu’il s’approcha d’elle en ouvrant la bouche pour s’expliquer avec la chevalière, la lame de cette dernière appuya sur sa gorge. Il cligna des yeux, pour essayer de discerner ce qu’il ne voulait pas croire que ce qu’il sentait était bel et bien une arme. Elle était devenu une étrangère. La chevalière qui tuait pour la justice se tenait maintenant devant lui. Et elle avait levé sa lame sur lui. Il fit un saut en arrière et ce fut le début d’une série d’esquive et de parade saccadées contre sa chère et tendre dans cette salle morbide. Il ne voulait pas la blesser. Mais il ne voulait pas mourir non plus. Il lui cria de toute âme qu’il ne voulait pas lui faire de mal, qu’il l’aimait sincèrement ! Ses mots ne l'atteignaient même pas. Et elle était trop forte. Il perdit l’équilibre sur une jambe et tomba en arrière, se cognant contre le mur. Il leva vivement les yeux vers son bourreau et il se pétrifia.
Ça y est. Son heure était arrivée. Il n’aurait jamais cru que cela se fasse par la main de Kyra. Il la voyait, inondée par les rayons de la lune, belle, forte, impitoyable. Prête à faire tomber le glaive sur une âme corrompue. Elle était si belle. Il ne put s’empêcher de sourire tout en le lui susurrant avant de fermer les yeux qu’elle amorça le geste fatal. Mais rien ne vint. Juste une phrase, qui resta gravé en lui à jamais:
Celle de sa sentence si leurs chemins venaient à se recroiser de nouveau.
Puis elle partie sans rien dire. Sous la surprise, Ayato ne réagit pas à temps. Il resta là, assis dans sa salle des horreurs pendant des heures sans rien faire, a part sangloter et regretter. Il venait de perdre l’amour de sa vie. Pour de bon.
Depuis ce jour, Ayato a perdu une grande partie du peu de joie de vivre qu’il avait. Il est de nouveau entièrement dédié à sa mission. La vie lui est bien monotone en dehors de ses activités bimensuelles. Enfin, il exerce ses fonctions dans une des églises d’Alberich depuis récemment.
Pseudo: Kimmy, Ayato, Dee… Prochainement Archer (en cours de recherche)
Âge: Bientôt 21 maintenant !
Comment as-tu découvert le forum: Madame Lizzy m’as fait venir en ces lieux….~
Commentaire: Ne vous fiez jamais à cette gueule d’ange~
